SOPRANO
A propos de Armida de Haydn, rôle titre
le Cercle de l'Harmonie, dir Julien Chauvin
(tournée en France)
"Voix longue, donc inclassable, et pour cette raison même souvent employée à mauvais escient, Chantal Santon trouve enfin, avec Armida, un rôle à la mesure de ses moyens techniques et expressifs, qui lui permettent d'incarner toutes les facettes de la magicienne sans que jamais ne s'altère la pureté d'une ligne de chant frémissante"
Mehdi Mahdavi, Opéra Magazine
décembre 14
"Monsieur Armida est incarné par la belle Chantal Santon qui disparaît totalement sous le costume du jeune homme (...) Chantal Santon réussit l'exploit de dessiner une Armida parfaitement crédible. Souveraine, la voix de soprano se joue des difficultés avec une vocalise précise et un engagement remarquable. On le verra, son allure androgyne sied parfaitement au rôle et l'actrice est idéale, usant de psychologie."
Hugues Rameau-Crays, l'Express
mars 15
"Dans le rôle-titre et en habits masculins, la soprano Chantal Santon est sans conteste la principale révélation. Plus émouvante qu'effrayante, elle révèle la beauté d'une musique aussi tragique que virtuose et qui ne méritait pas le relatif oubli dans lequel elle est tombée."
Thierry Hillériteau, le Figaro
février 15
"le soprano vif argent de Chantal Santon, familière des partitions du dernier baroque et du premier classicisme (celui des Lumières) étincelle dans le rôle titre masculinisé."
Camille de Joyeuse, classiquenews
février 15
"La distribution impeccable allie musique et théâtre par le jeu convaincant des interprètes et par leurs voix. En tête la soprano Chantal Santon qui corse la limpidité de son timbre pour enfiler les habits d’une Armida métamorphosée en jeune homme pris au piège de ses manœuvres séductrices. Elle (il) projette à merveille toutes les gammes de l’amour, coup de foudre, douleur, douceur. On y croit."
Caroline Alexander, Webthea
janvier 15
"Après Tancrède de Campra et Renaud de Sacchini, Chantal Santon retrouve la Jérusalem dans le rôle-titre où elle brille par sa projection, sa présence scénique et une technique aguerrie qui lui permet de triompher de sa redoutable partie que Bartoli elle-même chantait un demi-ton en dessous"
Jérôme Pesqué, ODB
janvier 15
"Remarquable plateau ! Parfaite dans le redoutable emploi d’Armida qu’elle affronte avec un aplomb vocal admirable, Chantal Santon creuse la psyché de son personnage. Son incarnation très prenante et nuancée sonne d’autant plus juste que la soprano ne cède à aucune forme d’« hystérisation » du propos dans les moments les plus furieux – mais quel feu extraordinaire brûle dans le « Odio, furor, dispetto » !"
Alain Cochard, concertclassic
janvier 15
"Sur la scène, la distribution est tout aussi enthousiasmante que ce qui émane de la fosse. Dans le rôle-titre, la jeune soprano française Chantal Santon, timbre chaud, présence et voix lui permettant une virtuosité épanouie, fait de son Armida un être ardent suprêmement chantant"
Bruno Serrou, Classique d'aujourd'hui
janvier 15
"La jeune soprano française Chantal Santon, au timbre riche et expressif, a la présence dramatique, la flamme et les moyens vocaux d’Armida."
Emmanuel Andrieu, Classiquenews
janvier 15
"On était loin de se douter que la Chantal Santon de l’inénarrable King Arthur du trio Niquet/Shirley/Dino, ou de la récente résurrection du Christophe Colomb de Félicien David serait cette Armida exemplaire, virtuose d’un registre à l’autre, idéalement brisée ou enflammée, de surcroît très crédible en travesti."
Jean-Luc Clairet, Resmusica
février 2015
« Chantal Santon illumine chacune de ses interventions par son aisance vocale, particulièrement dans les récitatifs, d’un engagement dramatique éloquent. »
Florent Coudeyrat, concertonet
Octobre 14
« Chantal Santon se retrouve donc à interpréter un rôle travesti, d’abord en tenue ordinaire d’un jeune homme d’aujourd’hui, puis en smoking dans la deuxième partie. Cette difficulté supplémentaire ne semble nullement affecter sa maîtrise du rôle, dont elle livre une superbe interprétation, peut-être plus accomplie dans la douceur que dans la fureur, mais l’Armide de Haydn se situe davantage du côté de l’inquiétude et du désespoir »
Laurent Bury, Forumopéra
Octobre 14
à propos de Don Quichotte chez la Duchesse, opéras de Metz, de Versailles et de Montpellier
"Duchesse haute en couleur de Chantal Santon-Jeffery.'
Philippe Venturini, les Echos
février 15
"Sur le plateau, les artistes s’en donnent à cœur joie, Chantal Santon Jeffery en tête, duchesse menant son monde à la baguette."
Emmanuelle Giuliani, la Croix
février 15
"Chantal Santon Jeffery domine le plateau, avec une belle maîtrise des codes du genre"
Catherine Scholler, Resmusica
juillet 15
"Chantal Santon, sublime en Virago et en enchanteresse déguisée. Sa voix pourfend telle une épée d’argent les difficultés semées par Boismortier et s’en tire avec de l’or patiné dans les graves, un torrent diamantin dans les aigus."
Pedro-Octavio Diaz, Classiquenews
juillet 15
"La Reine du Japon n'est pas un petit rôle. Chantal Santon Jeffery, même quans elle est suspendue et hurlante, règne en grande voix, notamment dans l'apothéose asiatique"
Michele Fizaine, Midi Libre
juillet 15
"Il y a aussi du très beau chant — Chantal Santon Jeffery se joue de tout, comme toujours : l’air de la Japonaise à la fin de l’œuvre, par exemple, est bluffant de fluidité comme de virtuosité."
L'Audience du temps
février 15
"Chantal Santon a pour elle une voix opulente mais capable de virtuosité, aux couleurs variées, dont on ne comprend pas qu’elle n’ait pas encore été distribuée sur scène dans les plus grands rôles ramistes ; l’actrice brille dans les différentes facettes du personnage qui lui échoit"
Laurent Bury, Forumopéra
février 15
" Altisidore, Chantal Santon Jeffery, est très sollicitée. Si ses airs de vengeance ou de courroux (« C’est est assez, ingrat ! », « Ingrat, connais Altisidore ! ») sont réussis, c’est au finale, en Japonaise, (« Vole, amour vole ») qu’elle atteint à une rare perfection."
Yvan Beuvard, Forumopéra
juillet 15
"Altisidore – Chantal Santon Jeffery, soprane française à la voix claire et pure (...). Elle brode une dentelle de vocalises toutes plus fines les unes que les autres."
Jean-Stéphane Sourd Durand, Muse Baroque
janvier 15
"Les chanteurs, assumant par ailleurs la tâche délicate d’évoluer dans des tenues fantasques et d’effectuer des pas de danse parfois très loin du style baroque, étonnent par leurs qualités d’acteurs. Ainsi Chantal Santon-Jeffery campe une duchesse séductrice, par moments femme fatale, dont la voix domine la soirée"
Bachtrack
février 15
"Chantal Santon-Jeffery a un double rôle fort important et la soprano doit assumer plusieurs airs longs et difficiles qu’elle réussit fort bien d’autant qu’elle double ses vocalises d’un travail du corps et des mimiques qui valorisent sa prestation vocale de grande qualité principalement dans le dernier grand air."
Jean-Pierre Vidit, Wukali
janvier 15
à propos du CD L'art orphique de Charpentier et Purcell
"Ce récital d’airs et songs imaginé par la soprano Chantal Santon-Jeffery rapproche deux contemporains, le Français Marc-Antoine Charpentier et l’Anglais Henry Purcell. Tous deux sont démarqués du genre de l’opéra royal, incarné par Lully, et puisent aux sources du théâtre lyrique italien une expressivité que sert avec bonheur la voix chaude et souple, magnifiquement soutenue, de Chantal Santon- Jeffery. Quelques pièces de clavecin savamment interprétées par Violaine Cochard allègent la mélancolie des peines d’amour ou un bonheur de la solitude (O Solitude) affirmé sans ambages, loin de l’évanescence distillée des voix de contre-ténor. "
Marie -Aude Roux, Le Monde
novembre 14
An outstanding programme of late seventeenth-century morsels from Santon-Jeffery, whose gloriously smooth, rich textured soprano will already be familiar to collector of the period for her outsanding recordings of Rameau, Sacchini, Dubois and Dauvergne. Leaning more towars the poetic than overtly dramatic (Santon-Jeffery tantalizes with a heart-rending restraint in the more emotionally charged passages), this is a programme ideal for late-evening listening."
The International Record Review
mars 15
"Nymphe chantante, mesurée, éloquente et pudique
Dans Sweeter than roses qui ouvre le récital : l’absolue langueur Purcellienne, offre au timbre clair la liberté de cultiver une aisance à caractériser les inflexions émotionnelles du texte. Saluons d’emblée, la maîtrise expressive et linguistique de la cantatrice Chantal Santon-Jeffery ; son articulation est parfaite dans la langue de Shakespeare (comme dans celle de Molière : Non je ne l’aime plus de Charpentier en fin de programme...) le style est noble et princier sans affectation : elle nous invite en son jardin constellé de roses délicates et suaves… Plus vif et même conquérant et victorieux, Hark ! the echoing Air a trumph… où l’abattage précis – celui d’une langue ciselée là encore, fait triompher surtout les aigus naturels (...) l’argument majeur de ce chant est celui d’une élégance racée qui elle aussi va son train noble et gracieux, d’une majesté aristocratique. (...) la soprano Santon fait valoir ses couleurs, ses nuances, son parfait débit linguistique, qui reste clair, sobre, naturel. La perfection dans ce répertoire. On pense à la muse de Poussin, ou la nymphe délaissée abandonnée d’un Stella. Tout respire la déchirure et la passion défaite. Du vrai théâtre qui ce concentre surtout sur l’impact du mot (...) Le tact, la pudeur, l’attention au verbe poétique font les délices de ce programme ciselé. Une perle défendue par une cantatrice indiscutablement inspirée par la lyre tragique baroque, française et britannique."
Benjamin Ballifh, Classiquenews
février 15
"C’est un beau témoignage des XVIIème siècle français et anglais que nous propose Chantal Santon-Jeffery (...)
Le timbre de la soprano évolue au rythme des atmosphères, dévoilant avec sensibilité ses différentes couleurs pour nous restituer les états les plus variés.
Mieux qu’un récital, c’est donc un petit festival qui s’offre à nos oreilles. De l’élégiaque « Sweeter than roses » aux cascades de mélismes, très naturels, du « Hark ! The echoing Air », du primesautier « Auprès du feu l’on fait l’amour » au guilleret « Profitez du printemps » le timbre se montre clair et aérien. Il se pare de couleurs plus sombres pour le « Tristes déserts », à la diction particulièrement soignée qui en accentue le dramatisme, se fait plus mat pour « Ah, qu’on est malheureux » ou le « Let me weep ». La tension monte peu à peu dans « A mad song », où la tirade s’anime peu à peu d’ornements plus appuyés mais toujours aisés. Le décidé « Non, non, je ne l’aime plus » hésite tout entier entre la résolution des paroles et l’attachement qui revient de manière lancinante. A la fraîcheur incisive du « Sans frayeur dans ce bois » succède un planant « Ah, laisse-moi rêver », qui se poursuit par les longues scansions de « O solitude ». L’expressivité est sans cesse présente, s’emparant des moindres nuances pour donner vie et corps au texte, tant en français qu’en anglais : la démonstration est éclatante mais jamais superfétatoire, le timbre et les ornements demeurant toujours très naturels. Face à ce timbre agréable qui nous révèle les couleurs de sa riche palette, l’orchestration n’est pas en reste (...) Un récital fort réussi, qui charmera assurément les oreilles de nos amis baroqueux."
Bruno Maury, Muse Baroque
mars 15
"Parcours initiatique pour soupirant meurtri
A la première écoute, on est saisi ; à la seconde, on est conquis. Tout, dans ce disque, respire une originalité de bon aloi. Fruit d’une complicité rapprochant des artistes exceptionnels, il se présente sous la forme d’un patchwork subtil mariant la musique à la poésie. (...) Cette intrigue est servie par des artistes dont la réputation est déjà solidement établie. Ce CD n’est donc guère qu’une confirmation éclatante de leurs talents respectifs. Chantal Santon-Jeffery y est tout simplement admirable. Sa voix, toujours renouvelée, s’ajuste à la densité émotionnelle contenue dans chacun des airs. Sa diction dans les deux langues permet à l’auditeur bilingue de se dispenser du livret, le rendant ainsi plus disponible pour se laisser envelopper par la beauté musicale. Son timbre est éclatant, son phrasé limpide et sa tessiture d’une ampleur peu courante. L’interprétation du second air de Purcell Hark ! the echoing Air a triumph sings (/Ecoutez! L’air au loin chante un triomphe) constitue une illustration parmi tant d’autres de son art de la modulation. Elle y attaque les aigus avec force, contrôle parfaitement les « roulades » et produit un son d’une grande pureté. Totalement engagée dans son rôle, elle se montre tout aussi convaincante lorsqu’elle exprime l’apaisement, l’abattement ou la soif de vengeance. Violaine Cochard fait chanter son clavecin avec grâce. Elle excelle dans l’interprétation de l’allemande de Louis Couperin ou la chaconne de Chambonnières. Trilles et « agréments » (ornementation) y sont rendus avec finesse et virtuosité. Son toucher est sensible et la sonorité élégante. Lorsqu’elle fait dialoguer son instrument avec la viole de gambe, le résultat est remarquable de précision et d’harmonie, comme dans la chaconne de Purcell. Son talent, conjugué à celui de François Joubert-Caillet, offre un appui sûr à la voix de Chantal Santon-Jeffery."
Michel Boesch, Baroquiades
avril 2016
"La première qualité de la chanteuse est bien de maitriser la subtilité et la prosodie de ces deux langues de façon magistrale. Pour Chantal Santon-Jeffery, la diction est loin d’être une contrainte qui complique la beauté de l’émission, au contraire elle la soutient et canalise le flot de cette voix opulente. Dès les deux premiers airs de Purcell, on est frappé par la richesse du timbre, l’ampleur de la voix jusque dans les vocalises rapides où elle ne perd jamais sa pulpe. Par ailleurs, contrairement à certains rôles du baroque italien tardif qu’elle a abordé récemment, les airs retenus ici ne prennent jamais en défaut son registre grave. Le tout baigne dans une atmosphère poétique qui permet par exemple de rédécouvrir un « Auprès du feu l’on fait l’amour » qu’Anne-Sofie von Otter gravait de façon plus paysanne avec William Christie. Car il ne s’agit pas uniquement d’une voix de luxe pour un répertoire où les diseuses abondent, Chantal Santon-Jeffery sait aussi instiller la mélancolie voire le soupçon d’angoisse nécessaires à la beauté d’un « Profitez du printemps » de Charpentier ou au « Non je ne l’aime plus » dans lequel le personnage cherche à se convaincre lui-même de ses sentiments. Le point d’orgue du récital réside certainement dans ce Mad song de Blow où l’héroïne dédaignée s’imagine en dieu de l’amour livrant bataille : la flamme amoureuse enragée s’illustre superbement dans les fulgurances de sa voix."
Guillaume Saintagne, Forum opera
novembre 2014
à propos du CD les Bayadères de Catel, dir. Didier Taplain
“Le chant qu’on entend sur ce disque est absolument sans reproche. Voix claire et bien timbrée, Chantal Santon brille dans un rôle exigeant, et l’on s’étonne une fois de plus que cette artiste ne se voie pas encore proposer les engagements auquel elle a droit hors du répertoire baroque auquel elle reste jusqu’ici associée.”
Laurent Bury, forumopéra
Septembre 14
“D’une distribution sans défaillance notable, la Laméa de Chantal Santon se distingue par son intensité sensuelle, sa diction enivrante, la clarté brillante du timbre, sa tenue égale malgré l’exigence du rôle principal où brilla avant elle la fameuse Caroline Branchu, étoile du chant français dramatique et tragique, tout aussi convaincante chez Gluck puis Spontini. Chantal Santon exprime la dignité puissante de la danseuse sacrée attachée au culte de Brahma et montre un engagement respectueux de cette fine caractérisation vocale dont fait preuve Catel dans le portrait de son héroïne… Le bon goût qui préside à la réalisation, le souci des équilibres défendu par le chef manifestement inspiré par la résurrection de l’œuvre, l’implication d’une soprano séduisante et expressive dans le rôle de la danseuse loyale et courageuse… suscitent notre enthousiasme.”
Lucas Irom, classiquenews
Septembre 14
“Il fallait oser revisiter les parties périlleuses de Laméa et de Démaly. Chantal Santon est, dans la première, une révélation : chant altier, mots mordants, il ne lui manque qu'un éventail de couleurs plus marqué.”
Jean Charles Hoffelé, L’Avant Scène Opéra
Septembre 14
“La parte della protagonista Laméa è decisamente impervia e rappresenta un significativo banco di prova per la cantante chiamata ad affrontare il ruolo. Chantal Santon ne esce in modo decisamente ammirevole; per primo luogo la voce è in se decisamente piacevole, sicura e squillante nel registro acuto ma capace di mantenere una carezzevole morbidezza anche nelle tessiture molto alte. I risultati migliori sono ottenuti nei brani di carattere lirico ed elegiaco come la già ricordata aria “La sort peut changer” o il duetto con Démaly “Courbé sous le poids du malheur” ma riesce ad ottenere convincente spessore drammatica nelle scene con Olkar del II atto; qualche difficoltà in più si riscontra nell’aria del primo atto “Dieux vous me l’ordennez” che per il suo carattere eroico e marziale e le impervie richieste vocali rappresenta un autentico scoglio per la cantante chiamata ad interpretare il ruolo e la Santon ne giunge comunque sufficientemente a capo nonostante qualche patteggiamento sul piano vocale.”
Giordano Cavagnino, GB Opera magazine
Novembre 14
“Die tapfere, entschlossene Bayadère Laméa ist mit Chantal Santon dunkel und lockend vertreten, eine schöne Stimme voller Potenzial.”
Operalounge
Septembre 14
“Chantal Santon, enfin, étonne. Chanteuse scrupuleuse mais souvent effacée, elle campe ici une Laméa autoritaire et sensible: ses airs exigent de la vaillance, de l’endurance, un engagement sincère et un contrôle vocal permanent. Jamais elle ne triche, jamais elle ne faiblit. Du coup, elle révèle une personnalité qui, dans ce répertoire difficile et peu fréquenté, pourrait être précieuse, d’autant que, bien guidée par le chef, le style ne lui pose pas de problème”
Michel Parouty, Opéra Magazine
Novembre 14
« Chantal Santon - Laméa - tire brillamment son épingle du jeu avec un engagement dramatique qui ne nuit en rien à l’intelligibilité du texte. »
Hrafuaga
Octobre 14
« No es necesario alabar la firme dirección orquestal de Talpain, el buen hacer de los dos conjuntos instrumentales y el coro búlgaro, pero sí hay que destacar la hermosa voz de la protagonista, Chantal Santon, de nítido timbre, buen vibrato, de sugerencia juvenil tirando a dama principal, es decir, nada soubrette, más Condesa que otra cosa, pero dentro de la categoría de las sopranos líricas (…)Pero hay que destacar el espléndido trío de favoritas del harén (…). Ellas redondean un reparto en el que la primacía femenina, con Santon como figura indiscutible, hace honor al título de la propia ópera. »
Santiago Martin Bermudez, El arte de la fuga
Octobre 14
"Car oui, c’est ici la bayadère Laméa qui tient le haut de l’affiche d’un bout à l’autre (...) Pour lui rendre justice, Didier Talpain a fait appel à une spécialiste du répertoire baroque : Chantal Santon. Mais là où l’on voit le chemin parcouru depuis des années, spécialiste du répertoire baroque ne veut pas dire petite voix droite : la soprano montre en effet un beau soprano lyrique, fruité et vibrant. S’il y a bien un personnage qui se démarque c’est Laméa, créé par la grande Caroline Lebranchu qui triompha pendant 26 ans dans les personnages tragiques et valeureux du répertoire, impressionnant Berlioz (et lui inspirant sûrement les personnages de Cassandre et Didon) et Napoléon. Taillé à la mesure de cette grande chanteuse et tragédienne, le personnage semble parfaitement adapté aux moyens de Chantal Santon qui sait mettre en valeur les difficultés permettant à la chanteuse de briller, mais aussi le ton général et la grandeur du personnage. Une superbe prestation donc où Chantal Santon, après la superbe Herminie du Tancrède de Campra se montre encore sous son meilleur jour dans un répertoire différent."
Les Carnets d'Erik
novembre 14
A propos du CD Les fêtes de l’hymen et de l’amour de Rameau, dir Hervé Niquet
“Aruéris ou Les Isies laisse au timbre angélique de Chantal Santon (Orie, qui succède ici à la légendaire Marie Fell, muse et maîtresse finalement inaccessible du pauvre Cahuzac…)) l’occasion de déployer sans forcer ses attraits : noblesse, tendresse, clarté du timbre emperlé d’une amoureuse souveraine, convertie aux plaisirs et délices de l’amour conjugué aux Arts : coloratoure enivrée de son air d’extase : “Enchantez l’amant que j’adore…”
Benjamin Ballifh, classiquenews
Septembre 14
« The cast is led by the piping, crystalline soprano of Chantal Santon-Jeffery, who takes the parts of both the Amazon princess Orthésie, who leads that birdsong scene, and the triumphant Orie in the final entrée. »
Charles T. Downey, Ionarts
Octobre 14
« The soloists, many of them playing multiple roles, are for the most part outstanding. Listen out, above all, for Reinoud Van Mechelen’s handsome-sounding Osiris, Tassis Christoyannis’s charismatic Canope and Chantal Santon-Jeffrey, exquisite as both Orthésie and Orie. »
Tim Ashley, The Guardian
Octobre 14
"Si J. B. est peu convaincante, le reste du plateau vocal atteint les sommets, et la prosodie française une altitude inespérée : Chantal Santon-Jeffery déploie des trésors de sensibilité en Orthésie..."
Jérémie Bigorie, Classica
novembre 14
« La voix de Chantal Santon-Jeffery est plus large et plus charnue ; elle a de plus l’avantage de se voir confier les plus beaux airs de la partition, les très virtuoses « Heureux oiseaux » qui conclut la première entrée et « Enchantez l'amant que j'adore » dans « Aruéris ».
Laurent Bury, Forumopera
Octobre 14
« El reparto es sobresaliente en su conjunto, cumpliendo a la perfección sus variados roles (todos hacen doblete o triplete) aunque cabe destacar a las dos dessus, Chantal Santon-Jeffery y Carolyn Sampson, quienes se lucen sobremanera en sus abundantes ariettes. »
Javier Sarra, El arte de la fuga
Octobre 14
"Quel bonheur d’écouter Chantal Santon-Jeffery! Tout lui semble aisé, le timbre est velouté, l’articulation est claire, la musique aussi. On croirait que Rameau a écrit pour elle, tant il y a une forme d’évidence. Vraiment, on en redemande !"
L'Audience du temps
décembre 14
A propos de Le Temple de la Gloire de Rameau, dir Guy Van Waas
(concerts à l’opéra de Liège et Versailles, octobre 14)
« Chantal Santon-Jeffery couronne d’aigus éclatants sa dernière incarnation, la Gloire en personne, après s’être amusée à jouer la comédie en Erigone arborant lunettes noires et chignon défait, comme épuisée par les folies de son amant Bacchus »
Laurent Bury, Forumopéra
Octobre 14
« Enfin, on ne peut conclure sans une mention spéciale à Chantal Santon-Jeffery, qui, à la fois par sa voix superbe, son charisme impressionnant et son jeu de scène plein d’humour, subjugua le public à chacune de ses apparitions. »
François d’Irancy, Forumopéra
octobre 14
« les solistes, eux aussi,ont impressionné. Il faut les citer tous : la fraîche et tendre Judith Van Wanroij (Lydie, Plautine), la piquante Katia Velletaz (une bergère, une bacchante, Junie), et Chantal Santon-Jeffery, grandiose, grave Arsine, Erigone et la Gloire »
Bruno Peeters, Crescendo Magazine
Octobre 14
A propos du CD La Caravane du Caire de Grétry, dir Guy Van Waas
«L’extraordinaire air de l’Esclave italienne, enfin, dramatiquement inutile mais très virtuose, est superbement chanté par une Chantal Santon en gros progrès »
Jacques Bonnaure, Opéra Magazine
Novembre 14
« Chantal Santon n’a qu’un air pour briller, mais elle en profite pleinement, et son Esclave italienne est reine de la virtuosité, mais avec une voix plus timbrée que n’en ont souvent les pures coloratures. »
Laurent Bury, Forum opera
Octobre 14
« Les esclaves française ( Caroline Weynants) et italienne (Chantal Santon) apportent tout le piquant agile de leurs voix souples et expressives »
Benjamin Ballhif, classiquenews
Septembre 14
"Ottima prova per il soprano Chantal Santon che risolve con grande sicurezza il non facile cimento rappresentato dall’aria della “Esclave italienne” impegnata in una classica aria da “virtuosa” di “opera seria”."
Giordano Cavagnino, GBopera magazine
janvier 15
Requiem de Michael Haydn, Vêpres Solennelles d’un confesseur de Mozart
Pygmalion, dir Raphaël Pichon
Festival de Saint Denis
« La lumière de Chantal Santon-Jeffery
Le quatuor vocal dispense un bonheur constant, la jeunesse des timbres et leurs couleurs spécifiques rehaussant l'unité de l'ensemble : Marianne Crebassa (mezzo), Julien Behr (ténor), Andreas Wolf (basse) sont rejoints par Chantal Santon-Jeffery (soprano). Timbre riche et lumineux, voix parfaitement projetée, expression généreuse et spontanée : son Laudate Dominum est un superbe moment, dans un dialogue attentif avec le chœur et l'orchestre. »
Rémy Louis, Diapason
Juin 14
Les Fêtes de l’Hymen, dir Hervé Niquet, rôles d'Orie et Orthésie
Concert Théâtre Champs Elysées, Bozar et Versailles
"L'engagement d'Hervé Niquet à la tête du Concert spirituel, une distribution ad hoc dominée par le soprano de Chantal Santon ont redonné lustre et vie à ces Fêtes de l'Hymen et de l'Amour (...)."
Marie-Aude Roux, Le Monde
Février 2014
« …place à la profonde beauté. Tout d’abord, Chantal Santon, splendide Orie et Orthésie correcte : voix pleine, timbre de feu et présence inaltérable au bout des intrigues. »
Pedro Octavio Diaz, Muse Baroque
Mars 2014
« Chantal Santon-Jeffery zong dan weer de koningin Orthésie (1ste entrée) en de nimf Orie (3de entrée) met grote stem, veel kleur en expressieve tekstprojectie. »
Gopera
Février 14
“C’est d’abord la prestation de deux jeunes artistes, que nous suivons depuis leurs débuts et que nous souhaitons souligner : le ténor Reinoud Van Mechelen et la soprano Chantal Santon. Cette dernière est une reine des Amazones d’une grande noblesse qui vocalise avec légèreté et raffinement dans « Volez plaisir », ne perdant par ailleurs jamais cette énergie scénique virevoltante qui la caractérise”
Monique Parmentier, Classiquenews
Février 2014
Tancrède de Campra, rôle d'Herminie
Opéra d’Avignon et de Versailles
« La douce Herminie, rôle dévolu à Chantal Santon, est chantée avec grâce et retenue, notamment dans un bouleversant « Cessez, mes yeux, cessez de contraindre vos larmes »
Emmanuel Andrieu Opera on line
Mai 14
« Chantal Santon a trouvé en Herminie un rôle dans lequel on la sentait parfaitement à l’aise pour l’orner avec beaucoup de finesse »
Clément Rochefort, La Lettre du Musicien
mai 14
« Les rôles secondaires sont remarquablement servis (…) La soprano Chantal Santon convainc et émeut en Herminie, dont elle creuse les côtés sombres autant que la dimension sensible. »
Fabrice Malkani, Forumopéra
Avril 14
"Chantal Santon fait de son Herminie un personnage complexe et attachant, dont l’air « Cessez, mes yeux, cessez de contraindre vos larmes », est à fleur de déraison et de désespoir."
Monique Parmentier, classiquenews
avril 14
Le Vaisseau fantôme de Wagner (verion en français), rôle de Senta
Opéra de Rouen
"Timbre charnu et projection idéale, Chantal Santon fait preuve de beaucoup d'aisance en Senta"
Jean-Marc Proust, Opéra Magazine
mars 14
2013
Les Mystères d’Isis de Lachnitz/Mozart
Diego Fasolis, le Concert Spirituel
Salle Pleyel
« Sandrine Piau, également souffrante, est remplacée par Chantal Santon-Jeffery qui se révèle une excellente Pamina. »
Jean-Marcel Humbert, Forumopera
Novembre 13
« Autour de la brillante Chantal Santon, une distribution aussi attentive à la musicalité qu’à l’élocution et à la prononciation du français soutient la cause avec energie »
Michel Parouty, Opéra Magazine
Janvier 14
« Chantal Santon- Jeffery est une Pamina pimpante et pleine d’énergie, dont il faut d’autant plus saluer la prestation qu’elle a rejoint le projet à la 25ème heure… Grâce à sa parfaite connaissance du style, elle compose une princesse égyptienne qui allie les charmes de la tragédie lyrique aux éclats mozartiens… »
Emmanuelle Pesqué Ch’io mi scordi ti te
Novembre 13
« Le plateau réuni ne démérite pas, en particulier le lyrisme de Chantal Santon-Jeffery »
JB de la Taille, Resmusica
Novembre 2013
« On retient l’excellente prestation de Chantal Santon-Jeffery, pleine d’aplomb et de fraîcheur en Pamina, d’autant plus qu’elle est arrivée à la dernière minute sur le projet »
Il tenero momento
Novembre 2013
Atys de Piccini, le Cercle de l'Harmonie
Sinfonia en Périgord, Festival d'Hardelot
"les jeunes instrumentistes ne convainquent pas moins qu’un homogène quatuor vocal où l’on salue (...) la fraîcheur et la poésie de Chantal Santon (Sangaride).
Concertclassic | Septembre 2013
"(...) la soprano Chantal Santon (Sangaride) domine nettement la petite distribution."
Médiapart (Jérémie Szpirglas) | Juillet 2013
"Le quatuor de chanteurs réuni pour cette tournée estivale n’appelait que des éloges, à commencer par (...) la Sangaride stylée et à la diction châtiée de Chantal Santon."
La Lettre du musicien | Juillet 2013
Les Indes Galantes, La Simphonie du Marais
La Chabotterie
"Surtout, (...) la distribution vocale s’avère éblouissante. Qui pourrait croire que Chantal Santon Jeffery n’est arrivée qu’une semaine auparavant ? Cette soprano au répertoire éclectique (bien connue des amateurs de musique baroque ou contemporaine, elle abordera la saison prochaine le rôle de Senta) interprète quatre personnages avec un aplomb renversant. (...) son aisance dans les notes les plus hautes ne le cède en rien à ce qu’ont pu faire en Zima les reines du suraigu ; même maîtrise confondante dans la virtuosité de « Papillon inconstant ». Infiniment touchante dans l’air « Hymen » de Phani, elle est aussi un Amour au caractère bien trempé, avec un timbre toujours charnu qui nous change agréablement des soubrettes parfois distribuées en Cupidon."
Forum Opéra, juillet 2013
"Des qualités non moins grandes parent Chantal Santon Jeffery : un timbre rond, des aigus éclatants, un joli talent de comédienne, (...) et un abattage certain. Rien ne laissait imaginer qu’elle remplaçait, presque au débotté, Valérie Gabail, souffrante. Les deux sopranos ont su faire de chacun de leurs airs des moments précieux."
Muse baroque | Juillet 13
"Six chanteurs (...) ont fait preuve de beaucoup de témérité et de personnalité, faisant de cette invitation aux voyages une grande réussite. Tous méritent d'être cités, avec pour qualité commune un grand soin apporté à la prononciation. Chantal Santon, possède une énergie virevoltante dans ses quatre rôles, l'Amour, Phani, Fatime et Zima. Sensuel et insolent, son timbre fruité, nous captive."
Monique Parmentier | Juillet 2013
"Toutefois, il y a plus fort. Invitée, encore plus récemment, à prendre la place de Valérie GABAIL, Chantal SANTON-JEFFERY (Amour, Phani, Fatime et Zima - ce qui n'est pas économe non plus) confirme l'excellent effet que certaine prestation récente a pu offrir d'elle. En apparence détendue, elle ajoute à sa capacité à voyager loin, une grande aisance technique (...), que rehaussent un timbre moiré et un bas de tessiture riche. Tous les grands "tubes" des Indes reposent sur ses épaules : (...) elle les mate tous d'autorité, en un sans-faute applaudi."
Appoggiature | Juillet 2013
CD Renaud de Sacchini, rôle d'Antiope
les Talens Lyriques, Christophe Rousset
"Pour les seconds rôles, signalons (…) la fière Antiope, reine des Amazones, de Chantal Santon"
Crescendo Magazine | Juin 2013
"Chantal Santon détaille avec esprit l'air d'Antiope…"
CD Renaud de Sacchini avec Christophe Rousset
Diapason | Juin 2013
"Deux autres rôles tenues par des voix féminines, moins importants sur le plan dramatique, sont très exigeants: Antiope, qui revient à l'excellente Chantal Santon…"
CD Renaud de Sacchini avec Christophe Rousset
Opéra Magazine | Juillet 2013
Lolo Ferrari de Michel Fourgon,
direction Luciano Acocella, Opéra de Rouen
"Les chanteurs, pleinement engagés, font preuve d'une diction remarquable, rendant largement superflu le surtitrage (...). Enfin, Chantal Santon incarne une Lolo en permanence au bord de la rupture, passagère ivre d'un corps qu'elle rejette. La voix de la soprano française est assurée dans les aigus, lumineuse dans le medium."
Lolo Ferrari de Michel Fourgon | Opéra de Rouen
Opera Magazine | Avril 2013
"Bravo à Chantal Santon pour son investissement total dans le rôle-titre."
Lolo Ferrari de Michel Fourgon | Opéra de Rouen
Classica | Avril 2013
"...les chanteurs ne semblent aucunement destabilisés, à commencer par une Chantal Santon ébouriffante, d'un naturel confondant, expressive à souhait, capable de maîtriser une large palette d'émotions que la fin de l'opéra étend de l'explosion expressionniste à la rêverie diaphane. Un grand moment !"
Lolo Ferrari de Michel Fourgon | Opéra de Rouen
Crescendo Magazine | Mars 2013
"Le plateau n'attire que des éloges. Chantal Santon domine la scène de sa présence et on souhaiterait la voir et l'entendre plus souvent dans des rôles de premier plan."
Lolo Ferrari de Michel Fourgon | Opéra de Rouen
Resmusica | Mars 2013
Cosi Fan tutte de Mozart, rôle de Fiordiligi
David Stern, Opera Fuoco
"La soprano Chantal Santon interprète le rôle de Fiordiligi, la moins volage des soeurs de Ferrare. Elle a une prestance indéniable et sa voix une épaisseur particulière, trait nécessaire pour toute (bonne) Fiordiligi vue l'étendue de la tessiture du personnage. Son air du 2e acte : "Per pieta..." est un moment d'une intensité époustouflante. Dans les duos, trios et ensembles, la jeune soprano est toujours ravissante, et ses capacités dynamiques avec sa soeur Dorabella, d'une parfaite harmonie."
Classiquenews | Mars 2013
CD Max D'Ollone, Brussels Philarmonic, Hervé Niquet
"En Galeswinthe, Chantal Santon éblouit de même par ses lignes infinies, d'un souffle et d'une clarté straussienne"
Classiquesnews | Mars 2013
"Ensuite, officie un trio de dames superlatif; à l'instar de Chantal Santon, modèle de tenue, soprano à la plénitude vocale désormais épanouie, affrontant crânement une tessiture épouvantable."
Appoggiature | Mars 2013
Le Tour d'Ecrou de Britten, dir Jean-Luc Tingaud
Opéra de Massy
"(...) L'ensemble de la distribution est toujours aussi remarquable, dominée par Chantal Santon Jeffery qui assume avec une éblouissante santé vocale toutes les facettes du rôle complexe de la gouvernante."
Forum opera | Février 2013










